C’est en Bretagne, plus précisément sur la Côte de Granite Rose que j’ai découvert la voile en 2006. Voulant toujours aller plus vite et repousser mes limites, la compétition s’est imposée à moi comme une évidence. J’ai fait mes premières armes en régate aux 24 Heures de la Voile, en 420. Puis j’ai intégré le Pôle Espoir à Brest en 2012, avec comme ambition à terme : la course au large. Mon ambition ultime ? Évoluer sur le circuit Imoca et courir le Vendée Globe.

En 2018, après une formation en matériaux composites, j’ai intégré le team Lalou Multi. Ma volonté était de m’engager sur un projet Mini Transat sur le mini 6.50 Arkema. Et c’est ainsi que j’ai pu prendre le départ de la Mini Transat 2021.
Plus qu’une révélation, cette aventure a conforté mon envie de faire de la course au large mon métier. Le Vendée Globe 2028 en ligne de mire, je souhaite
mettre toutes les chances de mon côté pour le courir le plus armée possible, d’où mon intégration à la classe Figaro. Sa rigueur, son niveau d’exigence, de technicité et le fait de naviguer auprès des plus grands skippers seraient pour moi le meilleur chemin pour y arriver.

« La voile est un sport sain, qui véhicule des valeurs qui nous sont chères : l’audace, le respect et l’exigence. Cela me permet également de communiquer en externe et de développer ma notoriété, tout en fédérant l’interne »